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Click-To-Video Mobile Advertising

Mobile advertising company AdMob and mobile video company mywaves have teamed up for a click-to-video mobile advertising system to launch this summer. Users who click on an ad will go to a landing page where they will have the option to watch a video, as well as save the video or pass it to their friends via MMS if they feel so inclined. At the lease this will encourage advertisers to create interesting ads. The ads will be viewable in over 160 countries—but of course very few of those countries will have unlimited data plans available, although they are slowly becoming more common. The duo have signed up Coca Cola as an inaugural user of the service.

Via: Moco

Mobile Social Net Service Intercasting Gets $12 Million Second Round Funding

Intercasting, the company behind mobile social network app Rabble, has received about $12 million in its second round of funding, MocoNews has learned. This round in the San Diego-based company was led by Venrock, though not sure if previous first round investors also participated. The first round was completed in fall 2005, and was $5.5 million.

The company’s apps have been on Cingular, Verizon and MetroPCS in U.S, but it has recently added Sprint and VMUSA to power their mobile social networking services, we’ve learned. It also recently announced a deal with 3 UK. We’ll have more later as we get it.

At our recent EconSM conference, Intercasting CEO Shawn Conahan among others discussed mobile social networking on a panel...writeup from that panel is here.

Via: Moco

Does The Mobile Search Business Model Make Business Sense?

Telecomasia.net takes a look at mobile search and what this mega-trend says about the overall direction of the mobile industry. “By acknowledging the importance of search, operators are effectively junking their old business model. You don’t need to search a walled garden.” Indeed, now that mobile search is becoming the de facto interface to content, operators have to decide how they are going to integrate it into their own services. And then there is another question the article doesn’t address: How many mobile search engines should an operator offer? Surely, it won’t be long before users, spoilt by choice outside the walled portals, grow to expect choice in mobile search engines…Will vertical search prove the best way to guide users to off-portal destinations? Or could mobile metasearch be the next logical step in this continuum? The article goes on to quote Hamid Akhavan, Deutsche Telekom CEO, who says the end-game isn’t about chasing new customers. “Now the game has changed - we have to harvest the customers we have.” No matter which flavor of mobile search operators ultimately choose – personalization will need to be part of the mix if they are going to reach and influence their users when they are are in search-mode (and, hopefully, buy-mode).

Via: Moco

Endemol Makes Mobile Music Video With MySpace Artist

Endemol has teamed up with Tila Tequila, a MySpace artist, to produce a video for small screen devices. The video, which has been available on the decks of some mobile carriers (eg Sprint USA, O2 UK, Vodafone Netherlands) since February 14, marks Endemol’s first foray into music videos. To make it all official TILA has today struck a partnership with Endemol and digital label/distributor INgrooves for the all digital release of the single and video. The single will be available for an exclusive pre-release through iTunes and then March 13th to the rest of the Internet users. iTunes will offer the video as a free bonus with the download of the song during the initial two weeks on sale. (E-mailed release)

Via: Moco

"Nous allons lancer MusicMe aux Etats-Unis, et étudions les opportunités en Asie"

Le directeur de MusicMe a répondu aux questions des lecteurs du JDN portant sur le service de musique, l'interopérabilité et les DRM. Il a également révélé les services en cours de développement.

Bonjour, depuis quand existe MusicMe ? C'est assez récent, non ?
Ludovic Leu. Bonjour à tous et à toutes. MusicMe existe depuis 2 ans. C'est un service de recherche spécialisé sur la musique, qui propose une offre premium d'écoute et une de téléchargement illimité.

Pouvez-vous nous rappeler les détails de votre offre ?
Le service de recherche est entièrement gratuit. L'offre d'écoute illimitée permet d'écouter tous les titres que vous voulez, en entier, sur une base de 6.350.000 titres. Le prix de cette offre est de 9,95 euros par mois. L'offre de téléchargement illimité permet d'écouter et de télécharger tous les titres du catallogue pour 14,95 euros par mois. Vous pouvez profiter de vos titres tant que vous êtes abonné à musicMe.

MusicMe est un moteur de recherche musical. C'est-à-dire ?
MusicMe vous permet en un clic de rechercher n'importe quel type de musique, de l'identifier par sa pochette, ses métadata (texte) et des extraits de 30 secondes. Notre réseau de partenaires (eBay, Priceminister, Fnac...) vous permet d'acheter ce que vous cherchez soit sous forme de CD, soit sous forme digitale.

Comment marchent vos offres illimitées, vous avez des chiffres ?
MusicMe compte 1.250.000 visiteurs uniques par mois. Le téléchargement illimité qui a été lancé en décembre dernier compte 50 nouveaux abonnés par jour.

Ecoute et téléchargement illimité. Ça ne fait pas double emploi ?
L'écoute permet l'instantanéité, c'est immédiat (streaming), mais vous devez être connecté au réseau Internet. Le téléchargement permet de transférer les titres sur son baladeur. Les deux offres sont très complémentaires.

Que pensez-vous de la multiplication de sites consacrés à la musique en ligne ? Est-ce bon signe ou au contraire, les différentes plates-formes risquent-elles de se cannibaliser entre elles ?

C'est une excellente chose que de plus en plus d'acteurs soient présents sur le marché. La musique est un vrai sujet du quotidien, qui touche notre intimité. Je pense qu'il existera de plus en plus de différents moyens de profiter de sa musique : online, offline, par des réseau, en achat à l'unité, en radio... A vous de choisir le modèle qui correspond le mieux à vos attentes.

Comment vous positionnez-vous par rapport à des acteurs tels que Radioblog ou Finetune qui proposent l'écoute illimitée et gratuite ?
Ce sont deux systèmes différents : Radioblog permet de "sniffer" le Web pour y trouver toute la musique disponible. Finetune correspond plus à une Webradio.

Observez-vous un effet long tail ? Quel est son impact ? Quels artistes "pas à la mode" sont le mieux vendus chez vous ?
Nous profitons de l'effet long tail, car notre fond de catalogue est l'un des plus importants du marché. Donavon frankenrischter fait partie des artistes "pas à la mode" et très téléchargé. Mika connaît également une très forte popularité depuis 2 semaines.

Pourquoi repartir sur une offre de musique illimitée, alors que la plupart des plates-formes ont abandonné ce modèle ?
Je ne connais pas de plate-forme qui ait abandonné ce modèle. Beaucoup font du téléchargement à l'unité effectivement. Notre volonté est de proposer des services qui n'existent pas en France.

Avez-vous l'intention de travailler avec des moteurs de recommandation qui permettent d'optimiser la long tail (Last.fm, Pandora, Criteo) ?
Nous développons actuellement nos propres solutions de recommandation. D'ici 2 mois, de nouveaux services vous permettront de découvrir ce que vous ne connaissez pas, mais qui correspond à vous goûts. Dans 6 mois, vous pourrez partager votre musique avec la communauté musicMe.

Allez-vous lancer un jour de la musique sans DRM ?
C'est une réflexion en cours chez MusicMe. Pour autant, il est très difficile de concilier abonnement et musique sans DRM. Il nous faudrait donc vous proposer de nouveaux services, fonctionnant sur une consommation à l'unité. Plus généralement, nous travaillons sur des systèmes interopérables qui permettent d'utiliser n'importe quel type de support.

Les majors commencent à bouger sur la question des DRM. Avez vous senti cela, vous qui êtes en contact avec elles ?
Cela fait 8 ans que nous collaborons avec l'industrie du disque (dont les Majors). Effectivement de nombreuses réflexions sont présentes. Je pense que l'année 2007 nous réserve de nombreuses surprises sur ces sujets.

Quels sont les droits concédés par votre DRM (gravage, nombre de copie et de transfert vers des lecteurs portables…) ? Votre DRM saute-t-elle en cas de gravage au format Wav ?
Pour l'écoute illimitée, vous pouvez écouter à volonté, sur tout le catalogue à partir de 3 PC différents, et ce tant que vous êtes abonné. Sur le téléchargement, vous avez la possibilité d'utiliser 3 baladeurs différents et également 3 PC différents. Vous pouvez télécharger toute la musique que vous voulez tant que vous êtes abonné.

Vous avez des partenariats avec des fabricants de lecteurs portables ?
Nous venons de lancer un partenariat avec Creative qui offre trois mois de musique illimitée pour tout achat d'un baladeur de la série Zen.

Votre offre illimitée est incompatible avec Apple. Cherchez-vous à rentrer en contact avec le constructeur ?
Apple n'ouvre pas son système de protection à d'autre acteur que lui-même. Nous utilisons donc les systèmes de Microsoft, qui permettent de répondre à la demande du plus grand nombre. Pour autant l'interopérabilité est une vraie nécessité, attendue par tous.

Même Steve Jobs se prononce contre les DRM, ne vous sentez-vous pas cerné ?
iTunes ne fait pas d'abonnement, il est donc normal qu'Apple prenne cette direction. Les DRM ne sont pas un problème en soi. C'est le manque d'interopérabilité entre DRM et matériel qui crée un goulot d'étranglement préjudiciable à l'utilisateur.

Que pensez-vous d'eMusic ? Ils proposent de la musique sans DRM, mais on est limité à 90 titres par mois.
C'est une excellente formule lorsque l'on souhaite découvrir des artistes indépendants.

Avez-vous l'intention comme la Fnac ou Virgin de faire un test de vente de morceaux sans DRM ?
Nous nous concentrons actuellement sur nos formules d'abonnement, et ne souhaitons pas pour le moment faire de vente à l'unité. Hors la vente à l'unité est la seule qui permette de s'affranchir des DRM.

Pensez-vous que les DRM sont un frein pour le téléchargement payant ?
Ce n'est en tout ca pas un facteur d'encouragement. Un fichier acheté doit pouvoir être lu quand on veut, ou l'on veut et à partir de n'importe quel appareil...

Vous enregistrez combien de téléchargements par jour ?
Nous générons sur l'ensemble de nos services plus de 7 millions d'écoutes par mois.

Abonnement illimité : comment répartissez-vous les revenus avec les ayants-droits (Sacem, producteurs, artistes...) ?
La répartition des revenus s'effectue sur un principe de partage de revenu avec les labels ainsi qu'avec les artistes. Ce partage de revenu est basé sur le chiffre d'affaires généré par le nombre d'abonnements effectués sur notre service.

Leclerc a un service qui s'appelle Musicetmoi. Comment allez-vous réagir? Des poursuites pour typosquatting ?
C'est une situation complexe qui dépasse le typosquatting. MusicMe est une marque déposée en France, en Europe ainsi qu'aux Etats-Unis. Des démarches officielles sont en cours auprès des différents organismes concernés par ce problème.

Quels sont vos projets de développement international ?
Nous lançons le service de recherche MusicMe aux Etats-Unis d'ici 2 mois, et sommes en train d'étudier quelques opportunités en Asie.

Quelles sont vos autres activités (hors téléchargement de musique) ?
MusicMe est un site qui est édité par Apach Network. Apach Network a de nombreuses activités B2B dans la musique, la vidéo et le DVD. Toutes ses activités sont centrées autour de la promotion des contenus audio et vidéo sur les lieux de ventes. Nos clients sont la grande distribution, les sites Internet marchands (Amazon, eBay...).

Avez-vous un passé dans l'industrie de la musique ? Pourquoi avoir choisi de vous lancer dans l'aventure MusicMe ?
Aucun passé dans l'industrie de la musique, mais une vraie passion pour la musique. MusicMe est issue de la volonté des dirigeants d'Apach Network de proposer un service de recherche de musique basé sur les outils professionnels que nous utilisons pour nos clients.

Pensez-vous que le disque physique va bientôt disparaître ?
Le CD physique est en très forte concurrence avec de nombreux supports et de nombreux nouveaux modes de consommation. Il est appelé à évoluer de plus en plus, afin d'en faire à nouveau un objet de désir. Je ne crois pas qu'il disparaisse rapidement.

Combien de personnes travaillent chez MusicMe ?
20 personnes travaillent chez musicMe. Notre équipe est composée pour moitié de développeurs.

Recrutez-vous ? Quels profils ?
Nous sommes toujours à la recherche de profil issus de la musique et de l'informatique. N'hésitez pas à nous faire parvenir vos CV !

Quels sont vos projets ? Des scoops pour les lecteurs JDN ?
Nous travaillons actuellement sur des outils de recommandations afin de vous permettre de découvrir toute la musique qui vous ressemble, sans que vous la connaissiez. Nous développons également des systèmes de partage de la musique, qui permettront aux abonnés de communiquer entre eux.

MySpace Mobile Wants More Mobile Deals

MySpace will not stop at Cingular and Vodafone in its efforts to take social networking mobile, but will forge ahead with more mobile network tie-ups, the company said. The company last week unveiled an exclusive partnership with Vodafone starting in the UK that will make the popular portal pre-loaded on new handsets and on the Vodafone Live service. But MySpace Europe MD David Fischer told 3GSM attendees: “This is just the first of many future mobile operator deals. Just as we’ve grown to become the largest destination on the web in terms of traffic, our goal is to make MySpace Mobile the number-one mobile destination. We intend to work in a very open fashion, being business model- and platform-agnostic. It’s a really big revenue opportunity, we think, for our friends and for our partners.”
He added: “Based on the incredibly positive take-up from MySpace Mobile in the US, which has won a record-setting pace on Cingular, we feel we’re on to a winner.”
Why MySpace Mobile? “The answer to this is simple—consumer demand. Millions of users around the world have been telling us they want access to MySpace any place, any time. Increasingly, people are using MySpace as one of their primary means of communication with family and friends, so it’s a natural progression for us to extend this onto mobile devices. The usage from MySpace Mobile is obvious - meeting friends in a bar, messaging friends, downloading pictures from your dream holiday or posting a blog about a gig while you’re attending the gig.”
MySpace is already the US’ most popular mobile social networking pasttime thanks to carriage on Helio handsets and to the Cingular tie-up, where users pay an extra $2.99 per month plus data costs for access. Last week’s Vodafone announcement did not include many details, though further reports suggest the “MySpace Mobile” moniker used by Fischer refers to a white-label application, rather than a set of mobile-optimized pages, while Vodafone customers, too, must pay an additional subscription.
Fischer said users would be able to view their own profile as well as browse other profiles, send and receive MySpace e-mail, post to and read blogs, write and review comments about friends. They will get to add new friends, upload photos and, Fischer added, “in future, we’ll be introducing ability to upload videos as well.”
Personal IM: In a related vein, the Personal IM initiative launched by the GSM Association at last year’s 3GSM has yielded a cross-network partnership in Spain that will connect Telefonica’s SMS 2.0 service with Vodafone’s instant messaging protocol, adding buddy lists, presence information and group messaging to plain text SMS. Wall Street Journal says: [Last year’s] announcement left industry watchers expecting a slew of deals that would give mobile instant messaging the potential to take off just as text messaging did once interoperability pacts were in place in the mid-1990s. But instead of a quickly expanding web of agreements, the overall impression is that Europe has been slow to move for a market that could be worth €1.5 billion by 2009".">Wall Street Journal says: “[Last year’s] announcement left industry watchers expecting a slew of deals that would give mobile instant messaging the potential to take off just as text messaging did once interoperability pacts were in place in the mid-1990s. But instead of a quickly expanding web of agreements, the overall impression is that Europe has been slow to move for a market that could be worth €1.5 billion by 2009.”
Via: Moconews

Adobe's Narayen sees growth in video, mobile

Interview: Adobe's president discusses the importance of providing developers with tools that work across several platforms

With its acquisition of Macromedia in late 2005, Adobe Systems won control of the Flash technology that has become a nearly ubiquitous way of authoring and viewing interactive and multimedia content on the Web. Now, the 25-year-old software company with deep roots in creative applications and an iron grip on electronic documents thanks to its de facto-standard PDF document format, has its eye on development and content presentation across all sorts of platforms and devices.

President and COO Shantanu Narayen recently sat down with a group of IDG journalists to talk about the opportunities that mobile platforms and digital video present for Adobe. Joined by David Mendels, senior vice president of the enterprise and developer solutions business unit, Narayen also described the company's hopes for its multiplatform runtime environment, code-named Apollo, that is designed to run Web applications using Flash, Flex, HTML, JavaScript, Ajax, and PDF and is due for public beta release later this year.

IDG: What are the key areas of growth for Adobe?

Narayen: Clearly, the creative customer is still a very important customer to us, and there what we're trying to do is enable them to create content across print and the Web, but also increasingly video and wireless. We're seeing a tremendous explosion of digital video, which we think is a huge growth area for us. And also wireless because creating content for wireless devices is very hard. So in the next version of our Creative Suite applications, we're going to be looking to dramatically expand how we can help people create content. This year, we're going to be releasing Creative Suite 3, which will be the first generation of applications that combines products like Photoshop and Illustrator from Adobe and Dreamweaver and Flash from Macromedia.

We think Apollo is going to enable a new generation of applications that combines the power of the desktop as well as the interactivity and connectedness of the Internet.

IDG: Tell us more about your plans for the mobile data arena.

Narayen: We work a lot with handset manufacturers and operators. The current offerings we have include Flash Lite on the client. Handset manufacturers or operators can provide a really compelling experience, and people using these phones can browse the Web and get Flash content.

What's even more exciting is that we now have a new service we're offering through operators called FlashCast.... What we've introduced is a new metaphor, a TV-channel-like metaphor, which allows you to have, say, weather or news or sports or specialized channels. You now have the ability to subscribe -- all the data is automatically sent down to your phone. We've introduced FlashCast services in conjunction with [NTT] DoCoMo. This server-based offering, it's more subscription based, [so] it's an ongoing revenue stream, for us as well as for the mobile operator.

Moving forward ... Apollo, the runtime will also be mobile-aware. The benefit to a developer or an enterprise or to an author is you author once, and you have the runtime everywhere, you have the ability to run applications everywhere. So that clearly is why we think that we have the ability to provide all the authoring, all the runtime, and a way to deploy it in a scaleable way in an enterprise.

IDG: How do you see your competitive stance versus Microsoft right now, especially with its Expression Web tool?

Narayen: We certainly compete with Microsoft; however we've competed with them in the past, and I think that's an important thing to also remember. We competed with them in print technology very early on. We competed with them in fonts, we competed with them in imaging for many years. We competed with them on the Web for years,. Dreamweaver versus Frontpage. You know, as it relates to the creative community, we still believe we understand that creative community. And that community wants a heterogeneous environment.

Mendels: The fundamental issue is cross-platform. There's almost no one I talk to who doesn't want to either be heterogeneous and work on Linux or Mac or Windows, or want the option in the future to do that.... If developers want to build things, express themselves heterogeneously across the Web, across devices, you know, that isn't Microsoft's strength. They've got a lot of strengths, but that's not their strength. Their big opportunity is people who have a Microsoft end-to-end environment.

IDG: Adobe has a long history as a software company -- over the years, how have you seen business models in software change?

Narayen: If you think about the company, it's actually changed very dramatically over these 25 years. We started with a completely royalty model. With Postscript, we had HP and IBM and Apple as large customers, and that was the business model, royalty based. And we built a very successful applications business on top of that. And then we moved into the enterprise, and that's license revenue, it's consulting services, etcetera.... So we already today have some very different business models all sort of coexisting in our overall company's financial model, which is clearly very successful and profitable one. Clearly, we see the trend toward both delivery of software through hosted mechanisms and subscriptions and the ability to monetize it differently. Second is the need for us, for a certain set of customers, to not monetize it by charging them for it but through other advertising mechanisms.... It's the spectrum of delivery and business models. Piracy is huge for us in other countries, and that [advertising-supported model] is a way in certain countries to also monetize.

IDG: What might be some applications you could offer in this way?

Narayen: Well, take video. With YouTube, right now people just have the ability to upload a video. Wouldn't it be really cool if we provided something that enabled people to do basic video editing through a hosted service, or image editing through a hosted service, or even run your entire enterprise offerings as a hosted service?

(IDG News Service Senior Writer China Martens and Infoworld Assistant News Editor Paul Roberts joined Heichler in conducting the interview in Boston.)

Via: infoworld

Technorati Tags: Mobile

Mobile Music: A La Carte Or Subscription?

Reuters has a summary piece on mobile music, concluding that “once Cingular adds over-the-air downloading, expected early next year, the true test of whether a subscription or a la carte model works best on wireless will commence...Cingular VP of consumer data services Jim Ryan believes wireless will rejuvenate the struggling music-subscription model. “We can double their base in the next 12 months,” he says.”
It also points out that business model aside, the important thing for mobile music is to get more people to use the service...I think it will be a while before the successful offerings become apparent…

Orange et Google travaillent pour rendre le Web mobile meilleur

Selon l'hebdomadaire anglais The Observer, Orange et Google seraient en négociation autour du développement d'un terminal dont le but premier serait de faciliter la navigation sur le Web mobile. Un partenariat qui pourrait mettre en jeu "plusieurs milliards de dollars" dans la fabrication (probablement par le Taïwanais HTC - qui fabrique déjà pour Orange) d'un portable co-brandé avec un écran semblable à celui des iPod video, ont confié deux responsables de l'opérateur français à l'hebdomadaire.
Google, de son côté, aurait développé une technologie de compression qui accélérerait la transmission des données vers et depuis les terminaux mobiles.

Pour Google, le Web mobile représente un énième support de diffusion pour ses contenus multi-formats (issus notamment de YouTube, site de partage de vidéo racheté pour 1,4 Md$), mais également de ses services de recherche et de localisation adaptés aux environnements mobiles. Le tout financé par la publicité en ligne.

Le Web mobile, s'il est considéré comme un très prometteur marché par les diffuseurs de contenus, souffre encore de lacunes technologiques. En premier, celles de formater des contenus aux solutions mobiles, pour l'heure, très peu ergonomiques.

Le W3C, de son côté, a publié un guide de bonnes pratiques du Web mobile (en Candidate Recommandation depuis novembre 2006) dédiés aux fournisseurs de contenus. Avec pour objectif, "offrir la même facilité d'utilisation du Web sur un mobile que sur un ordinateur de bureau".

Technorati Tags: Mobile, Google

Habbo Hotel To Launch Mobile Next Year

Pasi Ilola, the head of marketing for Sulake Corporation, told MobileMonday that the company planned to launch mobile services for its Habbo Hotel virtual community in the first quarter of 2007. Habbo Hotel has more than one million registered virtual characters. The mobile service will work on both WAP and i-mode and will allow users to “send and receive Habbo messages to friend lists. There will be also mobile news and competitions, My Habbo Home pages, Habbo credit purchases and Habbo Club subscription purchases. User will be able to download games, wallpapers, ringtones and other content”.